Chapelles, calvaires et niches

La Chapelle St Martin de Padoue

Elle est située à l’entrée du chemin Saint Martin en venant du bourg. Elle fût rénovée en 1982. Elle est construite en brique et couverte de zinc. Cette petite chapelle est de plan rectangulaire terminé par une abside arrondie.

         A l’exception de la porte fermée par une grille, elle ne présente ni animation du mur par des pilastres ou des autres jeux de briques. C’est la simplicité à l’état pur. Elle abrite une statue de Saint-Antoine de Padoue, polychrome, posée sur un autel.

        Construite à une date indéterminée, rénovée en 1982 par la famille Glorian puis en 1998. Située très proche de l’autoroute, elle est menacée par l’agrandissement de celle-ci en deux fois trois voies.

En 2015, suite à un accident de la route, elle a été complètement reconstruite.


La Chapelle Notre Dame de Lourdes

La Chapelle de Notre dame de Lourdes est située Chemin Saint-Martin.

De plan rectangulaire terminé par une abside à trois pans, cette chapelle est construite en briques peintes en blanc et couverte en ardoises. Les murs latéraux sont percés de deux ouvertures demi-circulaires dont la base en briques est légèrement saillante. C’est d’ailleurs la seule animation du mur avec deux bandeaux horizontaux et une clé saillante en façade. La gouttière est largement débordante sur le mur. La porte est en plein cintre fermée par une une grille protège l’autel qui présente une statue de Notre-Dame de Lourdes. Cette dernière fût bénie à Lourdes en 1927 puis ramenée à Ennetières. La restauration fût faite dans les même années.

La particularité de cette chapelle réside dans son nombre de croix: il en existe une dans le tympan, une plis importante en fer forgé au sommet du pignon et une troisième, fleurie, au chevet.

Une seconde restauration eut lieu en 1935.


Chapelle Notre Dame de la délivrance rue du Bourg

Elle est située rue du Bourg à l’entrée du village en venant d’Englos. A l’angle du mur d’une propriété privée, cette importante chapelle est construite en briques avec éléments de pierre et couverte d’ardoises. De plan rectangulaire sous un toit à deux pentes, ses angles sont raidis par des contreforts qui montent jusqu’à l’appui de la couverture. Cette chapelle est particulièrement ouverte, deux grands oculi percent les murs latéraux, un autre le tympan au dessus de la porte en plein cintre alors que le chevet est percé d’un dernier oculus surmonté d’une fenêtre cintrée.

Elle est fermée par une grille en fer. A l’intérieur un autel qui multiplie les décors en arc brisé supporte une grande statue de la Vierge polychrome, tenant devant elle l’Enfant, les bras écartés. Sur le socle on peut lire “ND de la Délivrance”.

Cette chapelle construite en 1890, réédifiée après la première guerre mondiale, a été restaurée en 1998 avec l’aide de l’ARARCO


Chapelle Sainte-Thérèse de l’Enfant-Jésus

Cette chapelle jouxte l’ancienne ferme de M. et Mme Gouwy rue du Quesnes.

Seule une petite croix en céramique bleue au-dessus de la porte rectangulaire signale cette petite chapelle au passant. La porte est grillagée dans la partie haute. La situation de cette chapelle que l’on peut considérer comme incluse ne permet pas d’en analyser l’architecture. Elle est dédiée à la sainte de Lisieux.


Calvaire en Chapelle

Place du Général de Gaulle

Cette haute chapelle rectangulaire en brique et couverte d’ardoides propose ici un fond plat. Elle s’ouvre sur la place par une très grande porte en plein cintre: l’arc, dont la clé e les bases sont saillants, est peint en blanc. De part et d’autre, deux pilastres montent jusqu’à la base du toit pour soutenir un fronton triangulaire fortement mouluré. Au sommet se dresse une croix en pierre. L’intérieur protégé par une grille basse abrite un autel devant un monticule sur lequel est érigée une haute croix. Le Christ est beaucoup plus grand que la vierge et Saint Jean qui se trouvent à ses pieds.

Ce calvaire aurait été construit vers 1900 sur un terrain donné par la brasserie Roze d’Haubourdin. Sur les cartes postales d’avant guerre, on le voit à coté de l’hotel des anciens militaires. Cela pourrait confirmer cette tradition, quoique cette date paraîsse bien tardive pour ce type de construction. Il a été restauré après la première guerre mondiale et récemment.

 


Calvaire Rue de la Vallée

 

 

 

 

 

 

 

Dans un bosquet, six marches permettent d’accéder à un autel situé devant une croix de section carrée qui supporte un Christ peint en blanc.

Il aurait été construit en 1928 et les traverses de la croix proviendraient de la reconstruction du choeur de l’église. Les dates concordent.


Niche à Notre Dame de Lourdes

16, place du Général de Gaulle

Cette très belle petite choque est posée sur la façade d’une maison, entre les fenêtres des deux étages. Peinte en blanc et en bleu, elle présente la particularité d’avoir son ouverture intérieure polylobée, ce qui permet de mieux voir la statuette à l’intérieur. Une telle disposition se trouve aussi dans une niche d’Illies.


Niche à Sainte-Thérèse de l’Enfant-Jésus

rue de Jérusalem

Cette niche architecturée dans le mur extérieur d’une ferme présente des montants saillants recevant un fronton triangulaire. La vitre brisée laisse voir une statuette dont la polychromie n’est plus qu’un vague souvenir.

 


Niche

située au 15 rue du bourg

Cette niche est aujourd’hui vide. Elle est située au dessus d’une porte située au 15 rue du bourg

 

 


texte tiré de “à la découverte des chapelles du pays des weppes” Ararco