L’intérieur de l’église

L’intérieur de l’église vue de la tribune

 

 

 

 

 


Bénitier :

Endroit, généralement aux entrées d’église,  où les fidèles peuvent trouver un peu d’eau bénite pour se signer en entrant.

 

 


Tronc de Saint Antoine de PADOUE :

Autrefois il était coutume, lorsqu’on avait égaré quelque chose, de faire une prière à Saint Antoine. Lorsqu’on avait retrouvé cette chose, l’on déposait une pièce dans ce tronc en remerciement.

 

 

 

 

1951 : 1ère mission après la guerre 40, le village entier participera à cette mission.

 

 

 

 

Fonds Baptismaux :

Endroit où l’on baptisait les enfants

 

 

 

 

Vitrail surplombant les fonds baptismaux : Représentent Saint Jean Baptiste baptisant Jésus avec l’eau du Jourdain

Sur ce tableau étaient inscrits les noms des membres de la confrérie « Notre Dame de la Paix ».
A leurs morts, ils avaient droit à une messe gratuite.

Ce tronc laisse à supposer qu’autrefois, il devait suffire de quelques pièces pour payer le chauffage.

 

 

 

 

Tableau souvenir où sont inscrits les noms des prêtres qui se sont succédé dans la paroisse de 1334 à nos jours. A signaler un vide de 11 années sous la révolution.

 

 

 

 

L’un des vitraux latéraux chargés d’amener la lumière dans l’église.

Architecte : LESSAFRE Lambersart

Vitrier Peintre : DUMEZ Lille

 

 

L’un des 14 tableaux représentant le chemin de croix. Sous le tableau le nom de la famille qui l’a financé

 

 

 

 

Confessionnal :

Endroit où autrefois, il était coutume d’y venir confesser ses péchés et en obtenir l’absolution.

 

Endroit où de nombreux paroissiens viennent y bruler un cierge dans l’espoir d’obtenir une grâce particulière

 

Autel « Notre Dame de Paix »

Les dévotions à Ennetières en Weppes datent du 13ème siècle (Archive de l’abbaye de LOOS)

 

La statue est-elle de cette époque comme l’affirme le révérent D Père POSSEZ ?
Le conservateur du musée de LILLE évoque plutôt fin 16ème début 17ème. La célébrité de son sanctuaire date principalement des guerres de Louis XIV contre les espagnols. Ce fût à cette époque que Notre Dame d’Ennetières vit affluer à ses pieds la foule des peuples qui, accablés de tant de maux, venaient lui demander la concorde et la paix.
On jouit enfin de cette paix en 1661 et les fidèles reconnaissants sollicitent auprès du pape Alexandre VII, l’érection d’une confrérie en l’honneur de la vierge sous le titre de N.D. de Paix. La statue est en bois de chêne.


Banc de communion :

Endroit où venaient s’agenouiller les fidèles pour recevoir l’Hostie de la communion offert par le prêtre.

 

 

 

 

 

Chaire :

Tribune peéglisermettant au prêtre de commenter l’Evangile du jour en s’adressant à tout l’auditoire. Aujourd’hui la chaire est utilisée comme ambon (pupitre placé à l’entrée du chœur dans une église et où est posé le lectionnaire ou la Bible)

 

 


Vue de la petite chapelle d’hiver

Chapelle utilisée aujourd’hui pour les partages d’Evangile avec les enfants. En hiver, il était autrefois utilisé. Cela permettait de ne chauffer que cette petite pièce et être bien au chaud. Peu de fidèles pouvaient être accueillis

 

Autel de la Chapelle d’Hiver

 

 

Stalle

Elle permettait d’accueillir plusieurs prêtres. Chaque prêtre avait ainsi sa place en chaire.

 

 

 

 

Nouvel Autel sur lequel le prête célèbre l’Eucharistie. L’on voit ici la vue du prêtre sur son église.

 

 

 

 

 

Ancien Autel :

Edifié en 1926. Sa situation obligeait le prêtre à tourner le dos à ses fidèles. Le concile du Vatican II a mis fin à l’utilisation de cet autel.

 

 

 

 

 

Autel Saint Joseph

Placé dans la partie droite de l’Eglise.

 

 

 

  


Mosaïque représentant Saint Martin sur son lit de Mort :

 

Saint Martin est né à SABARIE en Pannonie (l’actuelle Hongrie) autour des années 316-317.

A 10 ans, Martin se présenta de sa propre initiative pour recevoir l’enseignement de l’Eglise chrétienne. Mais ses parents étaient païens et alors qu’il rêvait de devenir moine, son père l’inscrivit de force dans l’armée.
C’est au cours d’un passage dans les environs d’Amiens qu’il fut baptisé en 339.
A l’âge de dix-huit ans alors qu’il était à cheval, il rencontra un mendiant nu en plein hiver et découpa son manteau à l’aide de son épée et donna la moitié au mendiant. Ce geste peut paraître curieux mais s’il avait donné son vêtement en entier au pauvre homme, il aurait été accusé de détourner l’argent public vu que son manteau faisait partie de son uniforme.
A l’âge de quarante ans, après s’être affranchi de ses obligations militaires, Saint Martin se rendit à Poitiers où il rencontra saint Hilaire, l’évêque de cette ville. Il lui proposa le titre de sous-diacre, mais Martin n’accepta pas par modestie.
Il fonda le premier monastère des Gaules à Ligugé, vers Poitiers. Il fut ordonné prêtre et fut kidnappé par les chrétiens de Tours qui voulaient en faire leur évêque. C’est de cette façon qu’il fut sacré prêtre en 371.
Pour fuir ses nouvelles obligations, il fonda le monastère de Marmoutiers, aux environs de Tours.
Saint Martin était un grand voyageur malgré son attachement à la vie de monastère.
Lorsqu’il mourut en 397, la dépouille de Saint Martin a été ramené a Tours.
Saint Martin est fêté le 11 novembre en particulier en Rhénanie où les enfants allaient de maison en maison pour recevoir des récompenses en échange de chansonnettes.